Remettez les mots dans l'ordre pour découvrir des célèbres proverbes français
Sagesse populaire transmise dans un langage simple et élégant
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Le puzzle des proverbs Français
Proverbes: la communication la plus facile à retenir
Les proverbes ont toujours été un moyen très efficace pour transmettre la connaissance humaine à travers les siècles, grâce à leur simplicité, l'utilisation d'images et souvent de rimes
Comment jouer au puzzle des proverbes
Faites glisser et déposez chaque mot dans la bonne position pour reconstruir la phrase proverbiale
On gagne lorsque chaque mot est dans sa position correcte dans la phrase
Liste des proverbes utilisés dans ce jeu
Il faut viser haut pour ne pas tomber trop bas
Chose promise, chose due
Il n y a pas de petites économies, que des grosses dépenses
Tomber pour mieux se relever
Il y a assez à faire de regarder ce qui cuit dans sa marmite sans aller regarder ce qui cuit dans celle du voisin
Une chatte n’y retrouverait pas ses petits
Œil pour œil, dent pour dent
Faute avouée à moitié pardonnée
Qui se ressemble s’assemble
Déshabiller Pierre pour habiller Paul
L’amour est aveugle
Bien faire, et laisser dire
Pierre qui roule n’amasse pas mousse
Cela ne sert à rien de devenir un jour l’homme le plus riche du cimetière
Beaucoup de bruit pour rien
Un grain de poivre l’emporte sur une corbeille de citrouilles
Méfiance est mère de sûreté
Une image vaut mille mots
Qui vivra verra
À méchant ouvrier, point de bon outil
Aussitôt dit, aussitôt fait
Mieux vaut tenir que courir
L’habit volé ne va pas au voleur
Qui trop embrasse mal étreint
Seuls ceux qui ne font jamais rien ne se trompent jamais
Il faut que jeunesse se passe
Il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier
On ne lance pas de pierre quand on vit dans une maison de verre
Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait
Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais
Les petits présents entretiennent l’amitié
Tout nouveau, tout beau
À cœur vaillant, rien d’impossible
Après la fête, on gratte sa tête
C’est la poêle qui se fout du chaudron
Il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler
Tel père, tel fils
Qui trop embrasse, mal étreint
L’oisiveté est la mère de tous les vices
Ça ne mange pas de pain
Il vaut mieux tenir que courir
Les paroles s’envolent, les écrits restent
À chaque problème, une solution
Charité bien ordonnée commence par soi-même
Il n’y a pas de quoi fouetter un chat
L’enfer est pavé de bonnes intentions
Ce qui ne coûte rien ne vaut rien
Bûche tordue fait bon feu ou le bois tordu fait le feu droit
La raison du plus fort est toujours la meilleure
L’homme descend du singe, il peut aussi y remonter
À l’œuvre on connaît l’artisan
À bon chat, bon rat
Tant va la cruche à l’eau, qu’à la fin elle se brise
La vengeance est un plat qui se mange froid
Lorsque qu’un vieux fait l’amour, la mort court alentour
Toute vérité n’est pas bonne à dire
Le soleil luit pour tout le monde
Ne mords pas la main qui te nourrit
La fin justifie les moyens
Caresse de chien donne des puces
Il faut quarante-sept muscles pour froncer les sourcils et seulement treize pour sourire
On ne prête qu’aux riches
Bon marché, c’est mauvais marché
Qui donne aux pauvres prête à Dieu
On n’est pas sorti de l’auberge
L’erreur est humaine
Rien ne sert de courir; il faut partir à point
Qui aime bien, châtie bien
Quand le chat n’est pas là, les souris dansent
Le chat parti, les souris dansent
Plus on est de fous, plus on rit
C’est au pied du mur qu’on voit le maçon
Qui doit n’a rien à soi
Tout vient à point à qui sait attendre
Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras
Qui veut tuer son chien l’accuse de la rage
Un homme sans argent est un loup sans dents
Les murs ont des oreilles
Pas vu, pas pris
Il n’y a que la vérité qui blesse
Qui sème le vent, récolte la tempête
La fortune sourit aux audacieux
Les petits ruisseaux font les grandes rivières
Il faut manger pour vivre, et non vivre pour manger
Les cordonniers sont toujours les plus mal chaussés
Ce n’est pas à un vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces
Qui cherche trouve
Toute peine mérite salaire
À la guerre comme à la guerre
Tout est bon dans le cochon
A beau mentir qui vient de loin
La peur donne des ailes
Quand le vin est tiré, il faut le boire
L’œil du maître engraisse le cheval
Connais-toi toi-même
Il n’y a pas de mauvais temps, juste de mauvais équipements
Ni vu ni connu
Les conseilleurs ne sont pas les payeurs
Il n’y a que le premier pas qui coûte
Abondance de biens ne nuit pas
Rome ne s’est pas faite en un jour
On ne tond pas un œuf
Proverbe ne peut mentir
Chaque poule vit de ce qu’elle gratte
Les affaires sont les affaires
Qui paye mal, aura payé deux fois
L’amour ne fait pas bouillir la marmite
L’avare et le cochon ne sont bons qu’après leur mort
Argent fait rage et amour mariage
Si de beaucoup travailler on devenait riche, les ânes auraient le bât doré
À malin, malin et demi
Nul n’est prophète en son pays
Nul n’est censé ignorer la loi
Il faut battre le fer quand il est chaud
Il n’est point de petites affaires
À vieille mule, frein doré
Partir c’est mourir un peu
Bien mal acquis ne profite jamais
Je ne sais qu’une chose c’est que je ne sais rien
Point de peur, point de malheur
À tout seigneur tout honneur
Qui a fait la faute, la boit
On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs
Qui fait le malin, tombe dans le ravin
L’habitude est une seconde nature
Le poisson commence à puer par la tête
Tous les chemins mènent à Rome
Il n’est point de sot métier
Il vaut mieux arriver en retard qu’arriver en corbillard
Changement d’herbage réjouit les veaux
Qui trop embrasse mal étreint
Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir
Chien qui aboie ne mord pas
Après l’effort, le réconfort
Cœur qui soupire n’a point ce qu’il desire
Qui m’aime me suive
Ce qui est pris n’est plus à prendre
L’amour et la fortune sont aveugles
Mariage pluvieux, mariage heureux
Les arbres ne montent jamais jusqu’au ciel
Qui vole un œuf vole un bœuf
Chat échaudé craint l’eau froide
Quand le bateau coule, les rats partent les premiers
L’habit fait l’homme
Ventre affamé n’a pas d’oreilles
Qui ne risque rien n’a rien
Qui peut le plus, peut le moins
On n’apprend pas à un vieux singe à faire la grimace
Mieux vaut prévenir que guérir
La parole est d’argent et le silence est d’or
Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer
Les chiens ne font pas des chats
Sans pain et sans vin, l’amour n’est rien
Dix francs de larmes ne paient pas dix centimes de dettes
La monnaie du diable est de faux or
Après la pluie, le beau temps
Ce que femme veut, Dieu le veut
L’espoir fait vivre
À père avare, fils prodigue
Chaque prêtre loue ses reliques
Le poisson pourrit par la tête
À l’impossible nul n’est tenu
Tel qu’on fait son lit, on se couche
Mieux vaut arriver en retard qu’en corbillard
À père avare, enfant prodigue, à mère avare, galant escroc
Chacun pour soi, Dieu pour tous
On voit la paille dans l’œil de son voisin et non la poutre dans le nôtre
Honni soit qui mal y pense
Un bon ouvrier n’est jamais trop chèrement payé
Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir
C’est l’hôpital qui se moque de l’infirmerie
La fourmi elle-même a sa colère
Bon estomac et mauvais cœur, c’est le secret pour vivre longtemps
Tous les goûts sont dans la nature
Il ne faut pas réveiller le chat qui dort
Qui paye le pot dit le mot
L’homme est un loup pour l’homme
Fais ce que je dis, pas ce que je fais
Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué
Qui a bu boira
Ce qui ne tue pas rend plus fort
Pas de nouvelle, bonnes nouvelles
Découvrir Pierre pour couvrir Paul
Tel est pris qui croyait prendre
Mieux vaut tard que jamais
Chassez le naturel, il revient au galop
Un homme averti en vaut deux
Il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre
Les chiens aboient, la caravane passe
Ne remets pas à demain ce que tu peux faire aujourd’hui
Il vaut mieux être saoul que con, ça dure moins longtemps
De l’eau sur la mariée, de l’or dans le panier
Ventre affamé n’a point d’oreilles
Déshabiller Paul pour habiller Jean
La vache la première au pré, lèche toute la rosée
Qui ne tente rien n’a rien
Les bons maîtres font les bons valets
La fortune vient en dormant
Qui paye ses dettes s’enrichit
Qui vit par l’épée périra par l’épée
L’oiseau sur le baobab ne doit pas oublier qu’il a porté des lunettes
Qui veut la paix, prépare la guerre
Deux fois bon, c’est une fois bête (variante de trop bon, trop con)
Faute de grives, on mange des merles
Paris ne s’est pas fait en un jour
Aide-toi, le ciel t’aidera
La nuit, tous les chats sont gris
Qui veut voyager loin ménage sa monture
Mieux vaut tondre l’agneau que le pourceau
Qui veut la fin veut les moyens
Vouloir, c’est pouvoir
Il ne faut pas se moquer de la peine du voisin, car la vôtre arrive le lendemain matin
C’est l’hôpital qui se moque de la charité
Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois
La chenille ne porte pas de lunettes quand elle boit l’eau
Croûte de pâté vaut bien pain
Les loups ne se mangent pas entre eux
Il ne faut pas pousser mémé dans les orties
Un malheur ne vient jamais seul
Un mauvais ouvrier a toujours de mauvais outils
Tout est bien qui finit bien
Si Dieu n’existait pas, il faudrait l’inventer
Nécessité fait loi
Qui va à la chasse perd sa place
C’est dans les vieux pots qu’on fait la meilleure soupe
Les avares sont comme les porcs : ils ne rendent service qu’après leur mort
À cheval donné on ne regarde pas la denture, à cheval donné, on ne regarde pas la bride
C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase
Aux grands maux les grands remèdes
Le temps, c’est de l’argent
Chacun son métier, les vaches seront bien gardées
Pas besoin de tortiller du cul pour chier droit
Seuls les poissons morts nagent avec le courant
Un sou est un sou
Rien ne sert de courir, il faut partir à temps
Le crocodile n’attend pas que le colis accouche
Dire et faire font deux (proverbe auvergnat)
Donner un œuf pour avoir un bœuf
Qui ne dit mot consent
Revenons à nos moutons
Rira bien qui rira le dernier
Jeu de main, jeu de vilain
Les rats quittent le navire
Il n’y a qu’un seul péché, c’est l’ignorance
Tel qui rit vendredi dimanche pleurera
Jamais deux sans trois
C’est en forgeant qu’on devient forgeron
Tout ce qui brille n’est pas or
L’eau coule sous les ponts
L’exactitude est la politesse des rois
Le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions
Faute avouée est à demi pardonnée
Les absents ont toujours tort
On ne peut être à la fois au four et au moulin
L’homme propose, la femme dispose
Comme on fait son lit, on se couche
Un vieillard qui meurt est une bibliothèque qui brûle
Sitôt dit, sitôt fait
Qui paie ses dettes s’enrichit
La plume est plus forte que l’épée
Il n’y a pas de fumée sans feu
Le chien aboie, la caravane passe
Loin des yeux, loin du cœur
Il n’y a pire eau que l’eau qui dort
Il ne faut pas remettre au lendemain ce qu’on peut faire le jour même
Qui s’y frotte s’y pique
À chaque jour suffit sa peine
Quand on parle du loup, on en voit la queue
Prudence est mère de sûreté
L’appétit vient en mangeant
C’est la poêle qui se moque du chaudron
L’occasion fait le larron
On ne met pas la charrue avant les bœufs
La critique est aisée mais l’art est difficile
Seuls les imbéciles ne changent jamais d’avis
Mieux vaut faire envie que pitié
La bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe
Tout beau, tout neuf
Fais ce que dois, advienne que pourra
Chassez le naturel par la porte, il revient par la fenêtre
La nuit porte conseil
Chacun voit midi à sa porte
C’est le bouquet
Les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures
Souvent femme varie, bien fol est qui s’y fie
Le malheur des uns fait le bonheur des autres
Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse
Il n’y a pas de petits profits
Qui pisse contre le vent mouille sa chemise
Renvoyer à l’abc
L’âne frotte l’âne
L’argent est un bon serviteur et un mauvais maître
Une fois n’est pas coutume
Pour faire bon ménage, il faut que l’homme soit sourd et la femme aveugle
Les bons comptes font les bons amis
L’habit ne fait pas le moine
La véritable amitié se voit dans le malheur
C’est là où gît le lièvre
L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt
La caque sent toujours le hareng
Aux innocents les mains pleines
Parle à mon cul, ma tête est malade
Tout travail mérite salaire
Les gouvernements sont d’une incroyable fécondité On y plante des fonctionnaires, il y pousse des impôts
En avril, ne te découvre pas d’un fil, en mai, fais ce qu’il te plaît
Le mieux est l’ennemi du bien
La chance sourit à ceux qui ne l’attendent pas
Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage
Il faut se méfier de l’eau qui dort
Bon sang ne saurait mentir
Le menteur doit avoir bonne mémoire
Qui dort dîne
On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde
Lorsque Dieu veut nous punir, Il exauce nos prières
L’argent n’a pas d’odeur
Il n’y a pas de sot métier
À bon vin point d’enseigne
Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude
Quand les cheveux commencent à blanchir, laisse la femme et prends le vin
Chacun est l’artisan de sa fortune
Mieux vaut être seul que mal accompagné
Tout ce qui reluit n’est pas or
Il faut souffrir ou faire souffrir
Toute patience a ses limites
À maison laide arbre mort
Les grands esprits se rencontrent
Avec des si on mettrait Paris en bouteille
Une hirondelle ne fait pas le printemps
Quand le diable devint vieux, il se fit ermite
C’est l’occasion qui fait le larron
Un mauvais arrangement vaut mieux qu’un bon procès
Petit à petit, l’oiseau fait son nid
Il n’y a rien de nouveau sous le soleil
Quand vient la gloire, s’en va la mémoire
Il ne faut pas dire, fontaine, je ne boirai pas de ton eau
On ne peut pas avoir le beurre et l’agent du beurre